La théorie de l’interaction des ondes électromagnétiques avec le système immunitaire trouve sa première application et sa confirmation expérimentale dans les effets des ondes électromagnétiques sur le cancer et l’auto-immunité.
La négation de ces effets est basée sur des expériences à faible largeur de bande, pour lesquelles l’effet est effectivement faible, sur l’habitude de certains scientifiques de minimiser ou ignorer dans leurs conclusions les faits qu’ils ont pourtant constaté, ainsi que sur la non-acceptation du fait que les ondes électromagnétiques peuvent avoir des effets pro-cancer et des effets anti-cancer. Les analyses globales basées uniquement sur les conclusions de chaque étude, ne différentiant pas en fonction du type d’onde utilisé, et analysant l’existence d’effets pro-cancer et anti-cancer comme une incohérence, mènent donc généralement à la conclusion qu’il n’y a pas d’effets ou que les effets constatés sont incohérents.
La réalité est qu’il y a des effets, pro-cancer (et anti-auto-immuns) ou anti-cancer (et pro-auto-immuns) suivant les cas, dès lors que l’onde électromagnétique a une largeur de bande suffisante, du type utilisé dans les télécommunications.
Pour aborder de manière plus détaillée l’aspect expérimental et statistique de l’interaction des ondes électromagnétiques avec le cancer et les maladies auto-immunes, vous pouvez télécharger le document suivant:
N’oubliez pas non plus de consulter la page physique/biologie et en particulier le document sur l’ interaction du cycle du lymphocyte T avec les ondes électromagnétiques.
Pour plus de pécision vous pouvez aussi télécharger l’article de référence en anglais: