COVID et ondes électromagnétiques

La croyance en l’absence d’effets non-thermiques des ondes électromagnétiques, et autres croyances similaires (voir page Doctrine de l’innocuité des ondes électromagnétiques ), qui est la base théorique utilisée pour rejeter les effets des ondes électromagnétiques sur la santé, ne représente plus le « consensus scientifique ». Son abandon a été acté par plus de 240 scientifiques  (voir http://www.5gappeal.eu/the-5g-appeal/ ) pour lesquels « les ondes électromagnétiques affectent les organismes vivants à des niveaux très inférieurs à ceux recommandés par les normes nationales et internationales »  (ces normes ne prennent en compte que les effets thermiques). Même les organismes les plus conservateurs acceptent aujourd’hui une certaine prise en compte des effets non-thermiques. C’est ainsi que l’ANSES, dans une publication datée du 8/7/2016, encourage à réduire l’exposition des enfants aux ondes électromagnétiques.

L’acceptation des effets non-thermiques des ondes électromagnétiques implique que le problème posé par la pandémie de COVID-19 doit maintenant être abordé avec un regard neuf, en utilisant toutes les connaissances scientifiques disponibles, et pas uniquement celles qui étaient considérées comme acceptables dans le cadre de la Doctrine de l’innocuité des ondes électromagnétiques. En particulier il faut prendre en compte le précédent de la Poliomyélite, une maladie virale pour laquelle le lien historique entre la maladie et l’exposition aux ondes électromagnétiques est démontré d’une manière très claire et très directe (voir la page « Poliomyélite » et pour plus de précision https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01148903 ). Ce précédent rend hautement probable un lien entre l’exposition aux ondes électromagnétiques et la pandémie de COVID-19 .


Thème : Overlay par Kaira.
Vincent Lauer EIRL