De 1979 à 1990, il n’y a eu en France aucun décès d’homme de moins de 25 ans par la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Le premier décès a eu lieu en 1991 et 4 autres ont suivi en 1992. Ces décès correspondent aux premières émissions des stations de base de téléphonie en GSM-900.
Alors qu’il y avait moins d’un décès par an d’homme de moins de 45 ans par la maladie de Creutzfeldt-Jakob jusqu’en 1990, de 1992 à 2008 il y eut plus de 4 décès par an dans cette catégorie d’âge. Le nombre annuel de décès fut ramené à 1 à partir de 2009, ce qui correspond aux premières émissions en UMTS-900, sur la même bande de fréquence que le GSM-900.

Cette double « coïncidence » incite à se poser des questions. Y a-t-il d’autres coïncidences du même type ? Les décès par la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez les hommes de moins de 45 ans pourraient-ils être « contrôlés » par les émissions dans la bande des 900 MHz ? Si oui, est-ce explicable ?
En effet, il y a d’autres coïncidences. En effet, les décès par maladie de Creutzfeldt-Jakob des hommes de moins de 45 ans sont largement « contrôlés » par les émissions dans la bande des 900 MHz. La puissance nécessaire à l’interaction de la maladie de Creutzfeldt-Jakob avec les ondes électromagnétiques dans la bande des 900 MHz est extrêmement basse, certainement inférieure à la puissance nécessaire à la réception par un téléphone portable. C’est la modulation (GSM-900 ou UMTS-900) qui détermine si l’effet favorise ou au contraire défavorise la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez les jeunes.
Vous pouvez télécharger une approche plus complète de cette question, y compris l’Encéphalopathie Spongiforme Bovine (« Vache folle ») et les explications physiques:
Interaction des ondes électromagnétiques avec les maladies à prions.
Vous pouvez également télécharger un article scientifique complet:
En l’absence de consensus scientifique sur le sujet – la question n’étant abordée nulle part en-dehors de ce site- c’est au lecteur intéressé de porter un jugement personnel sur la validité des arguments présentés. Cette appréciation peut être facilitée par le fait qu’au-delà de la discussion des mécanismes possibles, l’argumentaire sur l’interaction entre la maladie de Creutzfeldt-Jakob et les radiofréquences repose essentiellement sur une analyse de coïncidences, ce qui le rend aisément compréhensible.